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Aides ovines et caprines : ouverture des déclarations sur Telepac 

Les éleveurs d’ovins et de caprins ont jusqu’au 31 janvier pour télédéclarer leurs demandes d’aides sur le site TelePAC du ministère de l’Agriculture. Ce service dématérialisé permet aux agriculteurs d’effectuer leurs demandes d’aides en ligne 7 jours sur 7 et 24 heures sur 24 pendant toute la période de dépôt des dossiers. Lors de la campagne Pac 2012, les taux de télédéclaration ont atteint 72 % pour les aides ovines et 80 % pour les aides caprines. La proportion n’était que de 29 % et de 46 % respectivement en 2011.

La rédaction

Depuis le 1er janvier 2013, l’Irlande a pris la présidence tournante de l’Union européenne à la suite de Chypre. C’est la troisième fois que les irlandais sont aux commandes de l’UE depuis 1996. Le ministre des Affaires étrangères et du Commerce irlandais, Eamon Gilmore propose « des mesures destinées à promouvoir l’emploi et la croissance», a-t-il déclaré à l’AFP. «Ce ne sont pas que des mots. Il y a un certain nombre de mesures législatives clefs que nous voulons faire avancer» et notamment l’Union bancaire européenne démarrée en 2012 par un accord sur la supervision bancaire. Reste aussi la négociation du budget européen 2014-2020 (dont celui de la Pac), qui n’a pas été conclue par les chypriotes.  De plus, l’Irlande, très touchée par la crise, est bénéficiaire d’un plan de sauvetage financier mené par la Banque centrale européenne, le Fonds monétaire internationale et l’Union européenne. Lors de sa présidence elle voudrait négocier un accord sur sa dette bancaire afin « d’alléger le fardeau qui pèse sur le pays », selon l’AFP.

La rédaction

Les bâtiments de truies gestantes doivent être en conformité avec les normes européennes sur le bien-être animal depuis le 1er janvier 2013. «Nos estimations prévoient que 10 % des éleveurs ne se mettront pas aux normes», a souligné Jean-Michel Serres, président de la Fédération nationale porcine (FNP), le 2 janvier. Pour le reste, l’engagement des éleveurs de porcs a été «tardif, mais massif». Les éventuelles conséquences économiques sur la filière seront visibles à la fin du second trimestre 2013, a ajouté le président de la FNP.

La rédaction

«La demande est atone et l’offre plus que suffisante à la satisfaire. Il y a une baisse générale des cours sur la plupart des principaux marchés européens de viande porcine », selon les experts de l’Institut technique du porc (Ifip), dans une étude publiée le 28 décembre. En novembre, les cotations françaises du jambon ont reculé de – 6 % et celles de la poitrine de -2 %. En Allemagne, « la faiblesse des exportations et une consommation saisonnière décevante ont graduellement mis une forte pression sur les cours des pièces, tout particulièrement sur ceux de la longe et du jambon».

La rédaction

Un arrêté du 26 décembre, paru au journal officiel du 28 décembre, fixe pour 2013 le montant des cotisations annuelles dues au titre du régime de l’assurance contre les accidents du travail et les maladies professionnelles des exploitants agricoles notamment. Pour les chefs d’exploitation à titre principal ou exclusif, les montants sont de 411,33 € (catégorie A), 447,10 € (catégorie B), 419,39 € (catégorie C), 431,46 € (catégorie D), 447,10 € (catégorie E). Pour les chefs d’exploitation à titre secondaire : 205,67 € (catégorie A), 223,55 € (cat. B), 209,70 € (cat. C), 215,73 € (cat. D), 223,55 € (cat. E).

La rédaction

« De 2002 à 2011, les abattages français de porcins ont diminué (-4 % en tête) », selon une étude Agreste publiée le 24 décembre. Une tendance inquiétante dans la mesure où les abattages au sein de l’Union européenne ont globalement augmenté. « De 2004 à 2011, les abattages de porcins européens ont progressé de 3 % », selon l’étude. L’autre tendance marquante sur les dix dernières années en filière porcine est le développement des exportations vers les Pays tiers. Les exportations représentaient 4 % de la production européenne en 2004 et atteignent 7 % en 2011. Concernant la France, la tendance est aussi positive : « de 2002 à 2011, les tonnages français de viande porcine exportés vers les Pays tiers ont plus que doublé en volume, et plus que triplé en valeur ».

La rédaction

Les principales organisations agricoles (FNSEA, Jeunes agriculteurs, fédération nationale ovine et les Chambres d’agriculture) ont exprimé « un peu d’espoir » le 21 décembre dans un communiqué après une réunion de travail le 19 décembre avec l’Etat sur le futur plan loup 2013-2017. Selon elles, ce plan opterait pour « une diminution rapide » des prédateurs de leurs troupeaux. « Les pouvoirs publics semblent enfin disposés à entendre les arguments des éleveurs et à modifier la réglementation afin de mettre en œuvre une gestion efficace de la population de loups », selon le communiqué. « L’ensemble des participants se sont entendus sur l’objectif de diminution rapide et conséquente de la pression de prédation sur les troupeaux qui est arrivée à un niveau totalement insupportable », estimaient les participants en plaidant pour « des tirs de défense plus aisés à mettre en œuvre et plus efficaces pour protéger les troupeaux ». Selon les organisations, en 2012, le loup, présent sur près d’un tiers du territoire français, aura tué 5 000 brebis et coûté plus de 10 millions d’euros aux contribuables.

La rédaction

En octobre, la collecte de lait de vache affiche un repli pour le 4e mois consécutif (-4 % par rapport à octobre 2011), selon une étude Agreste conjoncture parue le 20 décembre. « Cependant, en cumul d’avril à octobre 2012, la collecte n’affiche qu’un léger retard de 1 % par rapport à la même période de l’an passé », précise le document. Selon les premières estimations de FranceAgriMer, la collecte devrait de nouveau accuser une baisse au mois de novembre. A contrario, les fabrications des principaux produits laitiers sont très dynamiques : les fabrications de yaourts et desserts lactés frais bondissent de 10 %, celles de laits conditionnés de 8 %, les fabrications de fromages profitent quant à elles d’un regain de 7 %.

La rédaction

Pour la FNSEA, « il est impératif que soit instauré, pour tous les citoyens français, un principe intangible d’équité dans le mode de calcul de la retraite », défend la centrale agricole dans un communiqué du 19 décembre. « La retraite des agriculteurs demeure en effet calculée sur l’intégralité de leur carrière, alors même que certains bénéficient d’un calcul sur les 25 meilleures années et d’autres sur les six derniers mois », rappelle le communiqué. La FNSEA demande donc à l’Etat « qu’une réponse soit enfin donnée à cette juste revendication, dans le cadre de la suite des travaux du COR ». Le 19 décembre, le Conseil d’orientation des retraites (COR) a en effet remis son rapport pour rétablir l’équilibre des comptes des régimes de retraite.

La rédaction

Dans un courrier adressé au ministre de l’Agriculture, le président de la FNSEA Xavier Beulin lui demande en substance de ne pas brûler les étapes en annonçant des adaptations des aides PAC alors même que la discussion budgétaire est loin d’être conclue. «Mélanger ces phases conduit aujourd’hui à fragiliser nos positions nationales» écrit Xavier Beulin : «commencer à entrevoir des négociations qui sacrifieraient une partie du budget de la PAC contre des remises en cause de propositions du Commissaire Ciolos n’est pas une démarche responsable, instiller de profondes réformes dans la distribution des soutiens du premier pilier ne correspond pas à la phase de l’agenda», poursuit-il dans une allusion évidente à l’idée, évoquée dans les services du ministère, de moduler les aides en fonction de la taille des exploitations.

La rédaction

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