Aveyron | Par La rédaction

Permis de chasser «La Fédération des chasseurs a besoin de vous»

La Fédération des chasseurs de l’Aveyron a besoin de vous. Face à la recrudescence du nombre d’animaux grand gibier, celle des chasseurs s’érode.

Il n’aura échappé à personne que d’une manière tout à fait générale, le grand gibier se porte très bien. On ne reviendra pas sur les raisons qui font qu’aujourd’hui les effectifs de sangliers, de cerfs, de chevreuils sont si importants. Pour l’essentiel cela relève des mutations paysagères et du développement de la forêt que connait tous les départements de France et d’Europe. Désormais, il ne fait aucun doute que seule la chasse peut réussir à contraindre cette évolution. Malheureusement, il y aura toujours des dégâts de gibier sur les cultures, malheureusement il y aura toujours des collisions routières avec la faune sauvage. Aussi, il importe aussi de souligner que si le grand gibier se porte très bien, les effectifs des chasseurs s’érodent, année après année. Les chasseurs ont besoin d’aide. Passer le permis de chasser coûte seulement 31 euros pour un mineur et 46 euros pour un majeur. Dans le meilleur des cas, il faut participer à seulement deux demi-journées de formation avant de passer son examen. Si l’examen se fait sous la férule de l’Office Français de la Biodiversité, les formations sont quant à elles encadrées par la Fédération Départementale des Chasseurs. Les formations sont totalement gratuites, d’ailleurs si les candidats ne se sentent pas prêts ou si les formateurs estiment qu’ils doivent se familiariser un peu plus avec le maniement des armes ils n’hésiteront pas à proposer toujours gratuitement, des formations supplémentaires. Aussi, les personnes intéressées par la chasse peuvent se laisser guider par le schéma ci-dessous.

La rédaction

Toutes les actualités

Sur le même sujet

Un parc qui existe depuis 30 ans. Un coin paisible pour entraîner ses chiens sur lièvres. Le père de Jérôme Massol l’a créé avec une poignée de sangliers. Rapidement, les sangliers sur les 23 hectares ont été remplacés par des lièvres. «J’ai pris la suite de son travail à son décès en 2004. Il y a tout ce qu’il faut en termes d’installations : clôtures, cabanon pour les chasseurs, chemins et de la variété au niveau du terrain, chênes, châtaigniers, taillis, ronces, des près, des friches, des points d’eaux aménagés et des terres cultivées. Mon voisin agriculteur cultive une partie des terres du parc», explique Jérôme Massol. Les 23 hectares du parc des Vialettes sont situés sur la commune de…