« Dans une dizaine d’années, 61% des éleveurs de brebis partiront à la retraite » introduit Inn’Ovin dans le communiqué de presse suivant :
« Dans un secteur où la demande est supérieure à l’offre (4 agneaux consommés sur 10 sont français), d’un marché favorable avec des prix stables, l’élevage de brebis offre de réelles perspectives qui doivent permettre l’installation ou la diversification d’éleveurs souhaitant allier qualité de leur revenu et de leur travail.
Si le renouvellement des générations et l’installation de 8 à 10 000 éleveurs d’ici 10 ans est un sujet prioritaire pour la filière, expliquer l’attractivité du métier l’est également.
L’éleveur de brebis d’aujourd’hui est moderne, entrepreneur et dynamique, garant d’une production de qualité et en phase avec leur temps.
Grâce à la Politique Agricole Commune (PAC) et aux aides de Bruxelles, les conditions d’installation sont favorables. L’élevage ovin est respectueux de l’animal, de la nature et de l’environnement.
L’éleveur de brebis occupe des espaces qui seraient sans lui délaissés. A chaque région, à chaque terroir, correspondent des conduites d’élevage et des races qui en sont issus.
C’est ainsi que l’élevage ovin garantit la pérennité et la diversité des paysages. Il contribue au dynamisme d’une filière structurée qui agit pour le développement et la valorisation de l’élevage ovin et de ses produits ».
Voir le dossier de presse en cliquant sur le lien ICI
A propos d’Inn’Ovin
Avec le programme Inn’Ovin, la filière ovine se mobilise pour relever les défis de demain :
– Plus d’agneaux et plus de lait pour satisfaire la demande et créer plus d’emplois sur l’ensemble du territoire.
– Plus de revenu pour les éleveurs et de meilleures conditions de travail : un métier plus attractif.
Le site de la Fédération Nationale Ovine ICI
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