Catégorie : Aveyron

Par eva dz

Une nouvelle préfète en Aveyron

Claire Chauffour-Rouillard est nommée préfète de l’Aveyron. Elle prendra ses nouvelles fonctions le 25 novembre prochain. Elle exerçait depuis juillet 2022 les fonctions de préfète, secrétaire générale aux moyens mutualisés de
la préfecture d’Île-de-France, préfecture de Paris.

Elle succède à Charles Giusti, préfet depuis un peu plus d’un dans le département et qui quitte ses fonctions le 18 novembre.

La rédaction


Par eva dz

Crise agricole : semaine d’actions

Les syndicats agricoles annoncent des actions dans les prochains jours. En Occitanie, berceau du mouvement de colère agricole de l’hiver 2023-2024, la FDSEA et les JA de Haute-Garonne donnent rendez-vous à leurs adhérents dans la soirée du 16 octobre pour un «retournement et bâchage des panneaux de communes». Un mode opératoire déjà utilisé en Dordogne, dans le Loir et Cher et dans le Loiret, où les militants ont échangé des panneaux d’entrée de ville. En Aveyron, la FDSEA et les JA prévoient de bâcher les panneaux d’entrée et de sortie des communes dans tout le département.

La rédaction


Par eva dz

Premier cas de MHE en Aveyron, annonce la préfecture

Un premier foyer de MHE a été identifié en Aveyron, sur le secteur de Villefranche de Panat. Une vache allaitante, avec signes cliniques évocateurs de FCO ou de MHE, a en effet été confirmée positive pour la MHE.
La détection de la MHE sur le territoire national a des conséquences sur les mouvements d’animaux vers un autre État membre de l’Union européenne. Pour tous les élevages situés dans un rayon de 150 km autour d’un foyer, ces mouvements sont interdits sauf en cas d’accords bilatéraux, ce qui est le cas par exemple pour l’Italie et l’Espagne, sous conditions de tests préalables et de désinsectisation. Certaines destinations vers les pays tiers font également l’objet d’interdictions ou de conditions spécifiques.
Concernant l’Aveyron, en dehors de l’élevage concerné, la découverte d’un premier foyer de MHE ne va pas induire de contraintes complémentaires pour les éleveurs, tout le département étant déjà en zone régulée depuis la fin octobre 2023.

Dans l’attente de la mise à disposition d’un vaccin, les mesures classiques de biosécurité peuvent permettre de limiter la diffusion de la maladie (contrôles d’introduction, gestion du voisinage au pâturage, limiter l’exposition des animaux aux vecteurs…).
En cas de suspicion de maladie, les frais de prélèvements et d’analyse sont prise en charge par l’État, dans la limite de trois animaux par espèce.

La rédaction

 


Par eva dz

Jean-Michel Javelle est le nouveau président de Sodiaal

Jean-Michel Javelle a été élu à la présidence de Sodiaal par le conseil d’administration, le 19 juin, annonce un communiqué de la première coopérative laitière française. Éleveur laitier dans la Loire, il est membre du bureau de Sodiaal depuis 14 ans et occupait, jusqu’à son élection à la présidence, le poste de vice-président. Le président de région Bretagne-est de la coopérative, Patrice Binet, est élu vice-président. Jean-Michel Javelle succède à Damien Lacombe qui quitte la présidence après dix années de mandat, marquées notamment par la réintégration de Yoplait au sein de Sodiaal.

La rédaction


Par eva dz

Lait de brebis : Beñat Saint-Esteben est élu à la présidence de France brebis laitière

Beñat Saint-Esteben a été élu à la présidence de France brebis laitière (FBL) lors de l’assemblée générale de l’association à vocation interprofessionnelle, le 4 avril. Cet éleveur de brebis laitières dans les Pyrénées-Atlantiques succède à Laurent Reversat à la présidence du collège des coopératives laitières. La filière du lait de brebis est historiquement structurée en trois interprofessions régionales correspondant aux principaux bassins de production : la Confédération générale de Roquefort, l’interprofession lait de brebis des Pyrénées-Atlantiques et l’interprofession laitière ovine et caprine corse. L’association FBL a été créée en 2019 dans l’objectif d’aboutir à une interprofession nationale.

La rédaction


Par eva dz

Jean-François Fruttero est élu président de la Caisse centrale de MSA

Jean-François Fruttero, 52 ans, exploitant agricole est élu à la présidence de la Caisse centrale de la MSA par les administrateurs du Conseil central réunis ce 4 avril 2024. Il succède ainsi à Pascal Cormery.
Issu d’une famille vigneronne, Jean-François Fruttero s’installe en 1997 sur l’exploitation familiale à Sadillac en Dordogne. Il dirige son exploitation seul en EARL, et produit des vins de Bergerac sur 45 ha.
Son engagement professionnel l’amène à s’investir pour le monde agricole et pour son territoire : premier adjoint au maire de sa commune et élu de la Chambre d’agriculture de la Dordogne depuis 2001 mais aussi président de la Fédération des vins de Bergerac de 2013 à 2017. Déjà, Jean-François Fruttero développe son intérêt pour les problématiques sociales en prenant en charge la politique d’accompagnement et de soutien aux viticulteurs lors des aléas climatiques.
Ces premières responsabilités l’ont amené naturellement vers ses fonctions actuelles. Elu, membre du conseil d’administration de la MSA Dordogne Lot-et-Garonne en 2010, il en prend la présidence en 2018 et est réélu en 2020. Dans le même temps, il est nommé administrateur de la Caisse centrale de la MSA dès 2015 et désigné co-président du Comité d’action sanitaire et sociale de la CCMSA par le conseil d’administration central.

À 46 ans, Sabine Delbosc Naudan, présidente déléguée de la MSA Midi-Pyrénées Nord pour l’Aveyron, devient vice-présidente (1er collège) et présidente de la commission action mutualiste (CAM) de la Caisse centrale de MSA.
Éleveuse bovin viande à Lassouts, présidente déléguée en Aveyron, elle est engagée en tant que déléguée à la MSA Midi-Pyrénées Nord depuis 19 ans.

La rédaction


Par eva dz

Viande ovine : FDSEA de l’Aveyron en action contre les importations néozélandaises

A l’approche de Pâques, la FDSEA de l’Aveyron a dénoncé l’effet des importations de viande d’agneau néozélandaise sur les revenus des éleveurs français, et annoncé des actions syndicales dans les prochains jours.  Elle annonce que des «actions en GMS auront lieu en fin de semaine». La fédération pointe particulièrement du doigt les offres promotionnelles, citant «une publicité pour du gigot d’agneau à 8,78 € le kilogramme». La FDSEA demande «la prise en compte du coût de production» et dénonce des importations qui ne «soutiennent pas l’économie locale». L’année 2023 avait été marquée par un recul de la production française de viande ovine (-8% en volumes) en raison de la sécheresse, entrainant des prix record. FranceAgrimer prévoyait des volumes en légère hausse sur 2024.

La rédaction