«Face au surplus, la Fédération nationale ovine (FNO) a proposé de faire des opérations de promotion en magasin en collaboration avec les opérateurs commerciaux et les grandes surfaces», écrit la FNO dans un communiqué le 1er février.
Le surplus vient des quelque 500 000 agneaux supplémentaires arrivés d’outre Manche à bas prix qui « embourbent le marché et pèsent sur les cours ». La filière ovine française qui a convoqué ses collègues anglais, irlandais, espagnols et néozélandais pour trouver une issue à cette crise, cherche à « faciliter l’écoulement des agneaux sans diminuer le prix ».