National | Par La rédaction

Laurent Guerreiro, nouveau président du Directoire de RAGT

Le Conseil de surveillance du Groupe RAGT a nommé, vendredi 17 décembre, Laurent Guerreiro, président du Directoire du Groupe.

Membre du Directoire depuis 2015 et directeur général de RAGT Semences depuis 2017, il succède à Claude Tabel, qui a fait valoir ses droits à la retraite et poursuivra ses actions dans la profession semencière.
Laurent Guerreiro revendique sa filiation. Il entend s’inscrire dans la droite ligne de l’action engagée par Daniel Segonds puis Claude Tabel, ses prédécesseurs.  
« Une évolution des modèles agricoles s’impose à nous. Les attentes sociétales sont fortes. RAGT continuera à apporter des solutions aux agriculteurs sur tous les territoires. Le Groupe RAGT est riche de talents et son organisation, tant au niveau de RAGT Plateau  Central que de RAGT Semences, a été pensée pour qu’il ait les moyens de son ambition», indique Laurent Guerreiro.
«RAGT est dans une dynamique positive et a les atouts pour construire son avenir», se félicite le nouveau président du Directoire.
Biologiste moléculaire de formation, Laurent Guerreiro, âgé de 48 ans, a débuté sa carrière professionnelle dans la création variétale, avant de rejoindre l’institut technique Arvalis, où, pendant 15 ans, il fut immergé dans la diversité des problématiques auxquelles se confrontent les cultivateurs en grandes cultures. Laurent Guerreiro a rejoint RAGT en 2013 en prenant la direction de RAGT 2n, la filiale recherche de RAGT Semences.

La rédaction

Toutes les actualités

Sur le même sujet

Pas moins de 17 députés ont réfléchi pendant plusieurs mois à la situation actuelle du pastoralisme et à son devenir. Ils ont récemment rendu leurs conclusions dans un rapport d’information qui fait état de 45 propositions « Mieux comprendre le pastoralisme pour mieux en parler et identifier ses éventuelles difficultés afin de proposer des solutions adaptées et durables ». Tel est l’objectif que s’est fixée la mission d’information parlementaire*, qui a présenté son rapport après un an de travaux, une quarantaine d’auditions et trois déplacements dans le Massif central, les Pyrénées-Atlantiques et le Vercors. Les députés Jean-Yves Bony (Cantal, Droite républicaine) et Marie Pochon (Écologiste et social Drôme) étaient à la manœuvre. © iStock-AscentXmedia Coexistence Pour les parlementaires, le pastoralisme…