La Fédération nationale ovine (FNO) a établi, le 22 février, un manifeste à destination des politiques pour que ces derniers s’engagent à établir «une politique de gestion du loup pour défendre les éleveurs et leur famille». Pour ce faire, la FNO a rédigé plus d’une dizaine de propositions comme «le refus de toute conditionnalité des indemnisations par la mise en place préalable de mesures de protection» ou «la prise en charge budgétaire des coûts de la prédation sur les crédits du Ministère de l’écologie et non sur celui du ministère de l’agriculture (au détriment des autres aides agricoles dans les régions les plus touchées)».
Didier Bouville