Mot-clé : Ovin

National | Par eva dz

L’herbe, une production paysanne à part entière

Charlotte Jacquet et Alexandre Asmode, ingénieurs agronomes formés à Vet’Agro Sup ont créé leur chaîne sur Youtube, l’Oiseau bondissant. Ils sont auteurs et co-réalisateurs de documentaires vulgarisant les pratiques agricoles. L’un de leur court-métrage sur le techno-pâturage a été diffusé au Sommet de l’élevage. Vu de drone, on remarque bien les différentes cellules de pâturage, les différents stades des prairies pour mieux comprendre la technique du techno-pâturage.Capture d’écran du documentaire…


Aveyron | Par eva dz

MHE – FCO 3 et 8 : comprendre pour mieux anticiper et se protéger

FODSA - GDS Aveyron a organisé lundi 16 septembre, une réunion d’information sur la situation sanitaire et en particulier sur l’évolution de la FCO 8 et 3 et de la MHE, tant d’un point de vue national que départemental, en présence de Cyril Pailhous, responsable du service santé animale à la DDCSPP. Plus de 150 personnes y ont assisté dans les locaux de la FODSA ainsi qu’en visio-conférence.  En présentiel…


Par eva dz

FCO-3 : après le premier cas confirmé, 22 suspicions dans le département du Nord

Vingt-deux suspicions de fièvre catarrhale ovine (FCO) de sérotype 3 ont été détectées dans le département du Nord, a indiqué la préfecture à l’AFP, le 8 août, au lendemain de l’annonce d’un premier cas en France de ce sérotype potentiellement mortel pour les moutons. «À chaque suspicion (…), un vétérinaire se déplace. Des prélèvements et des analyses sont effectués», ajoute la préfecture, qui souligne qu’«en cas de contamination, l’animal doit être isolé et désinsectisé».

Selon les informations de l’AFP, le premier cas confirmé est celui d’une brebis malade évoluant dans un troupeau de quinze moutons appartenant à un particulier dans la commune de Marpent. Une «mise à jour» de la zone régulée sera effectuée le 9 août, indique le ministère de l’agriculture à Agra Presse. Des suspicions sont apparues dans deux à trois élevages dans le Nord et trois à quatre dans l’Aisne, tous «en cours d’analyse», indique pour sa part Simon Ammeux, président de la FRSEA des Hauts-de-France. Il fait également état de «deux suspicions» en Seine-et-Marne.

Pour limiter les conséquences sanitaires de la maladie, une note de GDS France préconise de «surveiller les animaux matin et soir» et de «contacter son vétérinaire et soigner les signes cliniques dès leur apparition» (fièvre, aphtes, défaut d’hydratation, plaies)». De son côté, la Belgique compte 308 foyers de FCO de sérotype 3, a annoncé l’AFSCA (agence sanitaire) le 8 août.

La rédaction


Par eva dz

FCO : un premier foyer de sérotype 3 en France, dans un élevage ovin du Nord

La préfecture du Nord a annoncé, le 7 août, qu’un premier foyer de fièvre catarrhale ovine (FCO) de sérotype 3 avait été identifié dans un élevage de moutons à Marpent. Ce foyer, «confirmé le 5 août» par l’Anses (agence sanitaire), est le premier en France de ce sérotype, «la maladie étant jusqu’alors présente uniquement aux Pays-Bas, en Allemagne et en Belgique», souligne la préfecture. Depuis le 2 août, une zone régulée a été instaurée dans les territoires frontaliers avec la Belgique, avec des restrictions de mouvements d’animaux, dans l’objectif de «freiner la progression» de la FCO-3. La pression s’est accentuée ces derniers jours : après la détection d’un foyer dans une commune belge frontalière avec la France le 29 juillet, deux foyers ont été confirmés au Luxembourg le 2 août, dont l’un dans un élevage situé à 15 km de la frontière française.

La FCO, qui n’est pas transmissible aux humains, est déjà présente en France, avec les sérotypes 4 et 8. Un arrêté du 4 juillet prévoit des règles spécifiques pour lutter contre les sérotypes exotiques, comme la FCO-3. L’État mettra des vaccins à la disposition des éleveurs situés en zone régulée, qui s’étend du Pas-de-Calais à la Moselle. Les vaccins ne sont pas aussi efficaces qu’espéré, mais restent «très importants pour limiter l’impact clinique et la mortalité», insiste GDS France.

La rédaction


Aveyron | Par La rédaction

Ça chauffe dans les bergeries !

L’été est enfin là et la canicule s’installe. Comment les brebis ressentent-elles ces grosses chaleurs ? Que peut-on faire pour leur apporter un peu de bien-être, limiter les problèmes de santé et les pertes de production ? © FODSA GDS Aveyron Comme les vaches et les chèvres, les brebis sont beaucoup plus sensibles que les Hommes à la chaleur. En effet, passé une vingtaine de degrés, et suivant le taux d’humidité…


Par eva dz

La Grèce interdit le transport de vif après de nouveaux cas de peste de petits ruminants

Le ministère grec de l’agriculture a interdit lundi le transport d’ovins et de caprins, la peste des petits ruminants (PPR) ayant été signalée dans de nouvelles régions après son apparition dans le pays le 11 juillet. «Les mouvements d’ovins et de caprins destinés à la reproduction, à l’engraissement et à l’abattage sont interdits dans tout le pays», a indiqué le ministère dans un communiqué. Il a précisé que ses vétérinaires avaient localisé la peste ovine et caprine dans les régions de Corinthe et de Larissa, après avoir retracé «l’itinéraire suivi par des animaux importés d’un certain pays». Les animaux malades ont été localisés avant l’apparition des premiers symptômes de la maladie. Le pays d’origine n’a pas été précisé, mais le ministère a déjà déclaré que la Grèce importait principalement des moutons et des chèvres de Roumanie, de Turquie et d’Albanie. Plus de 9 000 animaux ont déjà été identifiés pour être abattus, dont 7 000 dans le centre de la Grèce, après l’apparition de la maladie près de la ville de Kalabaka le 11 juillet. La peste des petits ruminants (PPR) est une maladie très contagieuse pour les ovins et les caprins, mais elle n’affecte pas l’homme. La viande et le lait pasteurisé peuvent également être consommés sans danger, selon les autorités.

La rédaction


National | Par La rédaction

Elevage ovin : prolificité et intensification, facteurs de sobriété énergétique

Rapportés à la quantité de viande produite, les systèmes d’élevage les plus intensifs et les plus prolifiques sont les plus frugaux en énergie, selon l’Institut de l’élevage (Idele). La consommation de carburant plombe le bilan énergétique des systèmes pastoraux. L’Institut de l’élevage a comparé les consommations en énergie de 159 exploitations du réseau Inosys « Ovin viande », représentatives de la filière ovine, à leurs performances technico-économiques. Parmi ces exploitations,…


Aveyron | National | Par eva dz

Les Ovinpiades mondiales des jeunes bergers ont fait étape en Aveyron

Du samedi 25 mai au samedi 1er juin, la France a accueilli la 3ème coupe du monde des jeunes bergers. Le 28 mai, les 28 candidats de 17 pays ont fait étape en Aveyron. Et au terme des épreuves, c’est un Français, Benoit Toutain qui a été désigné meilleur jeune berger du monde ! Les 28 jeunes en compétition en visite sur une ferme à Roquefort. Le meilleur jeune berger…


Par eva dz

Viande ovine : FDSEA de l’Aveyron en action contre les importations néozélandaises

A l’approche de Pâques, la FDSEA de l’Aveyron a dénoncé l’effet des importations de viande d’agneau néozélandaise sur les revenus des éleveurs français, et annoncé des actions syndicales dans les prochains jours.  Elle annonce que des «actions en GMS auront lieu en fin de semaine». La fédération pointe particulièrement du doigt les offres promotionnelles, citant «une publicité pour du gigot d’agneau à 8,78 € le kilogramme». La FDSEA demande «la prise en compte du coût de production» et dénonce des importations qui ne «soutiennent pas l’économie locale». L’année 2023 avait été marquée par un recul de la production française de viande ovine (-8% en volumes) en raison de la sécheresse, entrainant des prix record. FranceAgrimer prévoyait des volumes en légère hausse sur 2024.

La rédaction


Par eva dz

La France accueille les Ovinpiades mondiales fin mai, sous le signe du renouvellement

Du 25 mai au 1er juin, la France accueillera les Ovinpiades mondiales (concours destiné aux étudiants de la filière), ont annoncé les responsables du programme français interprofessionnel Inn’Ovin le 26 février. L’événement se déroulera sous forme d’un «tour de France», afin de «montrer la diversité des élevages ovins français», avec des épreuves et des visites dans des lieux emblématiques du secteur : ferme expérimentale du Ciirpo (Haute-Vienne), filière Roquefort dans l’Aveyron, ferme de Fedatest (Haute-Loire), Charolles (Saône-et-Loire).

Les Ovinpiades s’achèveront par la remise des prix le 31 mai à la Bergerie nationale de Rambouillet (Yvelines). Une trentaine de participants sont attendus, en provenance de 15 pays – tous les continents seront représentés. L’événement sera placé sous le thème du renouvellement des générations, qui sera notamment abordé lors d’une conférence/débat prévue le 31 mai. En France, les taux de remplacement des départs à la retraite dépassent les 90% en ovins lait et viande. Mais le président d’Interbev ovins (interprofession) Patrick Soury appelle à «ne pas baisser la garde»: si le nombre d’installations tend à se stabiliser, les cheptels et les volumes produits sont en recul.

La rédaction