«En grandes cultures biologiques, les charges opérationnelles sont presque divisées par deux par rapport au système conventionnel», selon une analyse économique des exploitations en grandes cultures bio de CerFrance et de la Chambre d’agriculture d’Occitanie, publiée le 20 avril. Selon les économistes, la différence se fait sur les produits phytosanitaires et les engrais. Néanmoins, «les exploitations bio ont des charges de structure légèrement supérieures». La différence vient «des postes de main-d’œuvre salariée et de mécanisation».
Didier Bouville