Mot-clé : Macron

Aveyron | National | Par La rédaction

Ce qu’il faut retenir de la visite d’Emmanuel Macron en Aveyron

La profession agricole a profité de la venue du Président de la République pour l’interpeler sur les sujets majeurs qui touchent les agriculteurs aveyronnais. Extrait des réponses apportées par Emmanuel Macron. © ELLOP Sur le renouvellement des générations : «la ministre de l’agriculture s’est beaucoup engagée et vos parlementaires ont fourni un très gros travail qui a permis à la LOA d’être votée, d’être appliquée. Il faut faciliter les transferts…


Aveyron | Par Eva DZ

«La France fait honneur au Roquefort»

«La visite d’un Président de la République à Roquefort, pour les 100 ans de notre AOP, ce n’est pas rien !». Le président de la Confédération générale de Roquefort, Jérôme Faramond ne cachait pas sa joie à l’issue d’une journée réussie, jeudi 3 juillet. Il a accueilli avec l’ensemble des éleveurs, des fabricants et des acteurs de la filière Roquefort, Emmanuel Macron : «Ça fait plus d’un an qu’on travaille…


Aveyron | Par La rédaction

Retour en images sur la visite du Président à Roquefort

Emmanuel Macron a tenu sa promesse en venant jeudi 3 juillet à la rencontre des acteurs de la filière Roquefort, fêter avec eux les 100 ans de la plus ancienne appellation d’origine de France. Pendant toute une après-midi, bien au-delà du temps au départ imparti, le chef de l’Etat a visité les caves de Société, échangé avec les éleveurs du bassin, les représentants des 7 fabricants et les salariés qui…


Par Agra

Loup : Macron veut empêcher son implantation «là où il y a du pastoralisme»

En marge d’un déplacement à Roquefort-sur-Soulzon (Aveyron), consacré aux 100 ans du fromage AOP, le 3 juillet, Emmanuel Macron a dit vouloir empêcher l’implantation du loup «là où il y a du pastoralisme». «On ne va pas laisser le loup se développer et qu’il aille dans des massifs où il est en compétition avec des activités qui sont les nôtres», a ajouté le chef de l’État. «Et donc ça veut dire qu’il faut, comme on dit pudiquement, le prélever davantage». Le statut de protection du prédateur vient d’être abaissé dans la Convention de Berne et dans la directive européenne Habitats, ouvrant la porte à une gestion plus souple.

Un travail est en cours au sein du Groupe national loup pour explorer les conséquences de ce changement juridique dans le droit français. Selon l’AFP, le président de la République a jugé «vraisemblable qu’il faille une loi» pour parvenir à ses fins. «Il faut passer de la parole aux actes», a exhorté le président de la FNSEA Arnaud Rousseau, réagissant dans un message envoyé à la presse. Et d’appeler à commencer par «lever la décision de restreindre l’envoi de la louveterie», dans un contexte de forte hausse des attaques et des prélèvements de loups début 2025.

Source Agra


Aveyron | Par La rédaction

La profession agricole fait entendre ses priorités au Président Macron

Emmanuel Macron a tenu sa promesse en venant jeudi 3 juillet à la rencontre des acteurs de la filière Roquefort, fêter avec eux les 100 ans de la plus ancienne appellation d’origine de France. Pendant toute une après-midi, bien au-delà du temps au départ imparti, le chef de l’Etat a visité les caves de Société, échangé avec les éleveurs du bassin, les représentants des 7 fabricants et les salariés qui…


Par Eva DZ

Macron appelle à un nouveau débat budgetaire «tout début 2025», notamment «pour les agriculteurs»

Au lendemain du renversement du gouvernement Barnier, le Président de la République, Emmanuel Macron, a annoncé, dans son allocution aux Français le 5 décembre, qu’il nommera un nouveau Premier ministre «dans les prochains jours». Il appelle le futur locataire de Matignon à nommer un gouvernement «resserré» et «d’intérêt général», dont la «priorité sera le budget».

À ce sujet, le chef de l’État a appelé à un travail en deux temps. D’abord, une «loi spéciale» et «temporaire» serait déposée mi-décembre au Parlement et qui «appliquera pour 2025 les choix de 2024». «Cette loi temporaire permettra, comme c’est prévu par notre Constitution, la continuité des services publics et de la vie du pays. Elle appliquera pour 2025 les choix de 2024», a indiqué le président. Puis, «en début d’année, ce gouvernement préparera un nouveau budget», notamment «pour aider nos agriculteurs en difficulté, ils attendaient ce budget». Tombé à la suite de la censure du gouvernement, le projet de loi de finances (PLF) pour 2025 prévoyait une baisse des crédits du ministère de l’agriculture pour la transition écologique, ainsi que plusieurs allègements fiscaux (transmission des exploitations, cheptel bovin, etc.) Le déploiement des prêts garantis par l’Etat pourrait aussi être affecté. Quant au projet de loi de financement de la sécurité sociale (PLFSS), il comportait plusieurs articles agricoles portant sur les retraites agricoles, le TO-DE, l’exonération applicable aux jeunes agriculteurs, la taxe soda ou encore la fiscalité sur les sucres ajoutés.


Par Eva DZ

Législatives : Macron souhaite que l’examen de la LOA puisse reprendre après le scrutin

Emmanuel Macron a souhaité le 12 juin que certains projets de réforme mis à l’arrêt par la dissolution de l’Assemblée nationale, comme les lois sur la fin de vie ou l’agriculture, ou encore le nouveau congé de naissance, «puissent être repris» après les législatives. Interrogé sur le devenir d’une série de textes, le Président de la République a répondu, lors d’une conférence de presse à l’Elysée : «sur les projets en cours, mon souhait est qu’ils puissent être repris si la majorité est confirmée, élargie ou avec d’autres partenaires». «Je pense en particulier que, pour beaucoup de nos compatriotes, le projet de fin de vie était attendu, le projet agricole était attendu, ou le congé de naissance», a ajouté Emmanuel Macron, les jugeant «importants».

Le projet de loi d’orientation agricole, adopté fin mai à l’Assemblée, devait être examiné le 24 juin au Sénat. Les travaux de la Chambre haute sont désormais suspendus, le temps de la campagne législative. Interrogé par Agra presse à ce sujet, le rapporteur LR du projet de LOA au Sénat, Laurent Duplomb estime que «le texte actuel qui nous vient de l’Assemblée est loin d’être à la hauteur des enjeux de l’agriculture». Et d’ajouter : «je crois nécessaire de travailler un texte pour l’orientation de l’agriculture suffisamment ambitieux».


Par Eva DZ

Elections européennes : Renaissance publie son projet avec des propositions sur l’agriculture

Après avoir dévoilé certains noms de sa liste, Renaissance, le parti du Président Emmanuel Macron, a présenté le 6 mai son programme pour les élections européennes du 9 juin qui prend la forme de 48 propositions. Si l’agriculture qui ne figure pas parmi les principales propositions, le discours s’articule toutefois autour du triptyque : simplifier, produire et protéger. La proposition phare du parti centriste est la mise en place d’un «Egalim européen» devant permettre «d’assurer des revenus dignes à nos agriculteurs».

Renaissance souhaite simplifier les procédures et uniformiser les contrôles de la PAC, adopter la «préférence locale» et privilégier les circuits courts dans les marchés publics, mais aussi accélérer la mise sur le marché des nouveaux produits utilisant des mécanismes naturels (biocontrôle) et des nouvelles techniques génomiques (NBT) pour réduire l’utilisation de pesticides.

Sur le plan international, la principale mesure concerne la mise en place d’un bouclier commercial européen censé concrétiser les «règles miroirs» et permettre une réponse rapide en cas de différend avec un pays tiers. En outre, les candidats s’engagent à abandonner «l’accord actuel avec le Mercosur» et à créer un «Frontex sanitaire» devant permettre de contrôler le respect des normes sanitaires et environnementales.


National | Par La rédaction

Rencontre à l’Élysée : Emmanuel Macron ne veut «pas courir derrière la colère»

Le Président de la République, Emmanuel Macron a reçu le 2 mai, pendant un peu plus de deux heures, les représentants des syndicats agricoles et du Conseil de l’Agriculture française. Il leur a exposé ses perspectives en quatre grands thèmes. La FNSEA et Jeunes Agriculteurs (JA) veulent poursuivre rapidement le travail engagé. © Actuagri-CS Après le temps de l’action syndicale, puis celui de la concertation, voici venu celui de la…


Par Eva DZ

Manifestations : Macron promet un «discours de Rungis 2», pour septembre ou début 2025

À l’occasion d’une réunion, ce 2 mai à l’Élysée, le Président de la République a promis un discours d’orientation, de la même envergure que celui qu’il avait tenu au marché de Rungis en 2017. Emmanuel Macron a proposé deux échéances possibles : la rentrée de septembre, ou après les élections des Chambres d’agriculture de janvier, craignant que le scrutin n’entrave le bon déroulé de son allocution et de la concertation qui la précèderait, dès l’été. «Je ne veux pas me retrouver seul au milieu de la pampa», aurait-il déclaré.

En conférence de presse le 2 mai, les présidents de la FNSEA et des JA ont plaidé pour que ce discours se tienne dès septembre : «L’agriculture ne doit pas attendre», estime Arnaud Rousseau.

Selon les professionnels, le discours pourrait inclure une «approche par filière», et par territoire. La suite du plan pour «l’agriculture méditerranéenne» est également attendue.