Aveyron | Par La rédaction

SAFER Occitanie – service de l’Aveyron Comité technique départemental délocalisé

Mercredi 21 juin, au Couvent de Malet sur la commune de Saint Côme d’Olt, s’est tenu de manière délocalisée, le Comité Technique Départemental de la SAFER Occitanie service de l’Aveyron.

Pour son comité technique départemental, le service de l’Aveyron de la SAFER Occitanie était à Saint Côme d’Olt afin d’aller à la rencontre d’agricultrices et agriculteurs qu’il a accompagnés au moment de leur installation (photos SAFER).

Les professionnels du monde agricole se sont réunis dans un lieu chargé d’histoire que le maire ainsi que les membres de la congrégation ont rappelée. Après avoir procédé à l’ordre du jour du Comité Technique Départemental, un chèque de 2 000 € a été remis à Flavie Conte, attributaire SAFER installée sur la commune de Saint Côme d’Olt en maraîchage en agriculture biologique. En effet, la Safer Occitanie a mis en place une aide relative à la prise en charge des frais d’acte notarié pour les installations avec DJA. Celle-ci représente 100 % des frais d’acte notariés plafonnée à 2 000 €. Depuis 2019, la SAFER Occitanie a distribué près de 450 000 € d’aides aux jeunes agriculteurs.
Également le Comité a reçu David Farrenq et Marion Mouliac, attributaires SAFER sur la commune en maraîchage afin d’échanger avec les membres du Comité sur leur projet à la suite de l’attribution. Une visite de leur propriété a été effectuée par les membres du Comité et l’équipe de la Safer Occitanie. Ils ont échangé sur leurs productions et leurs pratiques avec l’arrivée de la saison estivale.

La rédaction

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Aurélien Viala est éleveur d’ovins et producteur de lait pour Roquefort, pour la Maison Carles. Installé à Coudayrolles, sur la commune de Martrin, dans l’exploitation familiale depuis plusieurs générations, le Roquefort, là-bas, est aussi une question trans-générationnelle. En effet, l’aventure familiale commence avec l’arrière grand-père d’Aurélien, qui entre autres des activités de sa ferme, produit déjà du lait de brebis pour Roquefort. « Mais pour les quantités, c’était presque de l’ordre du symbolique, rien à voir avec les quantités d’aujourd’hui », explique Aurélien. « Puis dans les années 70, mon grand-père a repris le corps de ferme et s’est spécialisé dans le lait de brebis. Puis c’était le tour de mon père en 1981 qui a bien développé notre élevage en ce sens ». ©…