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Par Didier Bouville
Le Salon international de l’agriculture s’est terminé dimanche 5 mars. 615 000 visiteurs sont venus approfondir leur connaissance du monde agricole. Et savourer les meilleurs produits du terroir français. Un rendez-vous immanquable et iconique, tant pour le grand public que pour les professionnels et les agriculteurs. Il y a d’ailleurs un message important que ces derniers devraient tous entendre. C’est en tout cas l’avis d’Anthony Soulier, éleveur de brebis pour Roquefort. Il tient à partager son expérience du salon.
La cible du salon, c’est le grand public. Chaque visiteur profite de l’occasion pour échanger avec les professionnels présents sur d’innombrables stands. Chaque département est représenté, avec son terroir bien à lui. Une richesse typiquement française. Et encore davantage en Occitanie : la région dénombre le plus grand nombre de signes officiels de qualité. Alors pour Pierre Ginebre, le directeur général de l’Irqualim, il est important de faire prendre conscience au Français de l’importance de ce maillage de produits de qualité au niveau national. Et surtout, de le préserver. Car l’acte d’achat, c’est avant tout un acte citoyen.
Un événement qui draine le public tout au long du salon, c’est le concours général agricole. Lui, c’est Théo Delagnes. Je l’ai rencontré avant le salon alors qu’il préparait une vache avant le départ à la capitale. Aveyronnais installé à Conques, il participe depuis tout petit aux différents concours du département et au-delà. Cette année, il se rend à Paris pour présenter 5 animaux. Et tous n’appartiennent pas à sa ferme. Différents éleveurs font appel à lui pour entrer avec leur vache sur le ring. Une passion pour ce jeune éleveur.
En parlant de graal, sa vache Nikita s’est classée 2ème du concours des jersiaises. La vache appartient conjointement à une ferme dans le Tarn, le GAEC en Crozes, et à celle de ses parents, la Ferme de l’Odyssée. La sœur de Nikita, qui se prénomme Noketa, terminera quant à elle 5ème de sa section. Une sacré performance.
Jérémy Duprat
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