Mot-clé : Italie

Par Agra

Noisettes : en Italie, une récolte en forte baisse en Campanie

La production de noisettes en Campanie est annoncée en forte baisse, rapporte le Corriere Ortofruticcolo le 26 aout. La baisse serait en moyenne de 50 %, avec des pics pouvant atteindre 80 % dans de nombreuses exploitations. Dans le secteur d’Avellino, fortement producteur, la récolte ne devrait pas dépasser 4 000 tonnes. Au niveau régional, les pertes pourraient atteindre 26,4 millions d’euros. « La chute précoce des fruits n’est pas un incident isolé, mais plutôt le signe d’une faiblesse structurelle du secteur, aggravée par le changement climatique, des parasites comme la punaise marbrée et des déséquilibres nutritionnels. Des solutions immédiates et concrètes sont nécessaires », explique Stefano Di Marzo, président de la confédération agricole d’Avellino. Le syndicat agricole a avancé plusieurs revendications auprès de la région Campanie : reconnaissance immédiate de l’état de catastrophe naturelle, indemnisation et mesures incitatives pour les exploitations, adoption d’un plan régional pour les fruits à coque (existant déjà pour l’olive et l’horticulture), création d’un comité technique permanent. La province d’Avellino, avec environ 11 700 ha de noisetiers et 7 900 entreprises impliquées, représente plus de 10 % de la superficie nationale plantée en noisetiers.


Aveyron | Europe | Par La rédaction

Les JA en formation version italienne

Au cours du mois de mars, un groupe de Jeunes Agriculteurs a suivi une formation visant à mieux comprendre le marché du broutard à l'export vers l'Italie. Les éleveurs bovins viande du groupe JA lors de leur séjour en Italie à la découverte de la filière broutard (© JA Aveyron). Pendant ces deux jours et demi de formation, 10 jeunes éleveurs ont pu échanger avec Bevimac, acteur aveyronnais de l'export…


Par La rédaction

Assouplissement des conditions sanitaires pour l’exportation de bovins vers l’Italie

Les autorités sanitaires italiennes viennent en effet de confirmer que la vaccination FCO ou une analyse PCR négative n’étaient plus nécessaires pour les mouvements de bovins, ovins et caprins originaires de France vers les régions non indemnes de FCO de l’Italie à savoir toutes les régions à l’exception de la province autonome de Bolzano et de la région Frioul-Vénétie Julienne. « Cette évolution représente une avancée sans précédent pour les éleveurs, permettant de fluidifier les échanges et de réduire les contraintes », a commenté la FNB qui a beaucoup œuvré pour cet assouplissement.

Par ailleurs, les conditions sanitaires vis-à-vis de la Maladie Hémorragique Épizootique (MHE) restent, quant à elles, inchangées : vaccination avec HEPIZOVAC depuis 21 jours ou désinsectisation accompagnée d’une analyse PCR négative. La FNB continue à demander que cette exigence soit retirée comme l’a fait l’Espagne.

La rédaction


Par Eva DZ

UE/Mercosur : le ministre de l’agriculture italien contre l’accord en l’état, l’Espagnol pour

En marge de la réunion du Conseil Agriculture, le 18 novembre à Bruxelles, les ministres de l’agriculture italien et espagnol ont exprimé des positions opposées au sujet de l’accord UE/Mercosur. Ces prises de position interviennent alors qu’un mouvement de protestation contre le traité a lieu en France et que les négociations pourraient se conclure lors de la réunion du G20, qui se déroule les 18 et 19 novembre à Rio de Janeiro (Brésil). Ainsi, l’italien Francesco Lollobrigida s’est prononcé contre l’accord. «Le traité UE-Mercosur sous sa forme actuelle n’est pas acceptable», a-t-il indiqué, tout en mettant en avant la nécessité de réciprocité en matière de normes entre les agriculteurs européens et ceux du Mercosur. A contrario, l’espagnol Luis Planas a rappelé l’importance de l’accord pour l’UE, notamment dans le contexte géopolitique. «Je pense qu’il est important au niveau mondial et qu’il peut également l’être pour le secteur agroalimentaire», a-t-il précisé.

En cas de conclusion des pourparlers, la question de la position des États membres pourrait se poser. En effet, si la partie commerciale est scindée de l’accord global, ces derniers pourraient être amenés à se prononcer à la majorité qualifiée (55% des États membres représentant 65% de la population de l’UE) et non plus à l’unanimité. Pour ne pas autoriser Bruxelles à signer le texte, il faudra alors, pour les partisans du rejet, obtenir une minorité de blocage.


Aveyron | Europe | Par Eva DZ

BEVIMAC Centre sud : poids lourd de l’export

Réunie en assemblée générale vendredi 7 juin, l’union de coopératives BEVIMAC Centre Sud a présenté une activité, spécialisée dans l’export d’animaux vifs, en progression malgré la fermeture du marché algérien et un regain de valeur ajoutée pour les animaux destinés à l’Italie. L'assemblée générale de BEVIMAC Centre Sud s'est déroulée vendredi 7 juin. La stratégie de BEVIMAC Centre Sud, union des coopératives décidée il y a 9 ans, continue de…